Toujours entourée, mais un peu seule ;
Je pars mais je reste ce qu’ils veulent.
Enfermée dans des chaînes invisibles,
Pourrai-je être de l’intérieur lisible ?
Mais je ne veux pas devenir comme les autres
Et perdre cette chose traître,
Qui me ferai être chimérique,
Alors que je suis une femme électrique.
Bientôt je devrais à nouveau pétiller,
Devenant si légère pour m’envoler…
Pour fuir « seule » sans repos, ni trêve
Vers le Paradis de mes rêves.